Après plusieurs jours sans punition suite a des soucis familiaux, mon Maître a souhaité me remettre un peu en place, et il faut dire qu'Il a eut bien raison... j'ai a plusieurs reprises répondu sous un ton plus que limite oubliant alors la règle

n° 5 "  une attitude respectueuse tu adopteras" et Il se devait de réagit comme il se doit.Merci mon Seigneur et Maître.

En rentrant du travail un soir Il m'a donc retrouvé à ma place au pied de son fauteuil à attendre Son retour. Évidemment parée comme il se doit nuisette collier et rosebud.

Le temps d'une cigarette il m'a dit que j'allai être punie comme je le méritais, je l'ai évidemment remercié. Il m'a fait me lever et l'attendre près de la fenêtre de la véranda, m'a mis les menottes au poignets, mais également au dessus du coude. M'a attachée les mains dans le dos par les deux points de fixation, puis m'a fait mettre à genoux. Il a ensuite mis une laisse à mon collier qu'Il a accroché à la poignée de la fenêtre. J'étais ainsi attachée et offerte au risque de me faire surprendre par les voisins, frissons de peur, mais vite balayés par ce sentiment si fort d'appartenance que je ressens au plus profond de mon âme. Il a ensuite mis à mes seins des pinces auxquelles il a attaché des petits sceaux remplis d'eau, m'ordonnant de ne pas bouger sous peine d'une raclée plus appuyée que prévue après.

Puis Il est repartit s'affairer à ses affaires, me laissant ainsi seule.

N'y tenant plus j'ai eut un petit mouvement pour soulager une douleur au genou et un des sceau est tombé... Sa réaction ne se fait pas attendre... Il me dit simplement tu sais à quoi t'attendre...

Il vient enfin me libérer et m'ordonne de me mettre allongée au sol, mains retenants mes chevilles, jambes ouvertes.

Il saisit alors le cercle muni de 6 pinces et le place sur mon sexes 3 pinces sur chaque lèvres, ainsi mon sexe est largement ouvert et offert. Ses mains fouillent mon corps, s'attardent sur mes tétons, puis Il prend ensuite le spéculum qu'il m'introduit dans le vagin, provoquant des douleurs mes lèvres étant étirées... mais je ne dis rien je suis punie je le sais je n'ai rien à dire je veux gagner Votre pardon.

Des pinces viennent ensuite mordre mes tétons, puis des glaçons glissent sur mon corps avant de s'enfoncer dans mes trous.

Il  me laisse ainsi avant de m'autoriser à jouir la punition est finie (enfin presque puisque mon Seigneur et Maître puisque Vous me devez une raclée...)

Je Vous Aime infiniment Votre putain soumise soucieuse de progréssée et meurtrie d'avoir put Vous décevoir